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INVITATION
Alain Boumier, Président de
l'Académie du Second Empire
Président du Comité national pour la reconstruction des
Tuileries
a le plaisir de vous inviter à
participer au colloque
en présence de
S.A.I.
Le cent cinquantenaire
(1857-2007)
de
pourquoi j’approuve le projet
de
reconstruction des tuileries
par
Henri Froment-Meurice
Ambassadeur de France
quels enjeux pour l’ensemble louvre-tuileries de nos jours ?
par
Stéphane
Millet, Architecte DPLG, Grand
Prix de Rome
Président de l’Association des Grands Prix d’Architecture
de l’Académie des Beaux-Arts
avons-nous les tailleurs de
pierre ?
par Louis-Joseph Lamborot,
Directeur du secteur pierre de taille
de
l’Entreprise Chevalier, qualification Monuments Historiques depuis 1947
par le
Professeur John Rogister
Membre correspondant de l’Institut de France
l’étude lancée par le bentley
college
(massachusetts) sur le projet
par le
Professeur Louis Iandoli, Ph.D.
Bentley College, Waltham, Massachusetts
Le
colloque sera illustré de projections :
avec
Maurice DRUON, de l’Académie
Française, ancien Ministre de
Président de
Jean-François LEGARET, Maire du
1er
arrondissement de Paris
Frédéric DIDIER, Architecte en
Chef des Monuments Historiques
Message de Gustav LEONHARDT,
Commandeur
des Arts et Lettres
Message de Wilhelm
von BODDIEN, Président de
jeudi
25 octobre 2007 de 17h30 à 19h30
Fondation
del duca de l’Institut de France, 10 rue alfred de vigny, Paris 8ème
A l’issue du colloque,
RSVP (nécessité de s’inscrire)
Comité
national pour la reconstruction des Tuileries (J.O. du 29 janvier
2005)
Courriel :
tuileriesdemain@aol.com
- Site Internet : www.tuileries.fr
Nouveaux
bureaux : 5 rue Rude, 75116 Paris – Tél. 01
45 00 00 72 –
Fax 01 45 00 00 29
Texte
originellement paru dans l’hebdomadaire Famille chrétienne
du 19 juin 2004, puis repris dans l’ouvrage du
même auteur : La prière du pauvre,
Paris, Parole et Silence, 2005.
Lorsque
reviennent les beaux jours, le jardin des Tuileries se remplit.
Pourtant, ni la
splendeur du décor ni la foule des promeneurs ne parviennent à combler
le
vide : le palais, autour duquel tout a été construit, que les
jardins
enlacent, vers lequel le regard doit converger, n’est plus là. Les
ailes,
conçues pour n’être que des galeries reliant le Louvre aux Tuileries,
ne
relient plus rien et s’ouvrent en vain. On peut aimer cette ouverture,
mais
elle mutile notre histoire. Ces temps-ci, des pétitions circulent pour
que l’on
reconstruise les Tuileries.
Ainsi en
va-t-il de la prière. La prière est faite pour nous relier
à Dieu, pour nous unir au Christ par la vertu théologale de charité.
C’est bien
l’effet qu’elle produit, mais le Christ, vers lequel toute la vie
spirituelle
se tend, est comme absent. Invisible à nos yeux, il semble
inaccessible à notre
tentative de contact. La prière produit un effet, elle nous
transforme ;
mais ce qu’elle réalise est difficile à voir, et celui qui opère ce
changement
n’est visible que par l’emplacement en creux qu’il laisse dans l’âme.
Tant et
si bien que notre œil, ayant besoin de se poser sur quelque chose, est
tenté de
se contenter de ce qui lui reste : l’acte de prier, l’effort
vertueux, les
méthodes de prière, l’exaltation communautaire, l’émotion. Ne pouvant
saisir le
Christ désiré, nous risquons de nous focaliser sur nous-mêmes en train
de le
saisir. S’ensuit une attention, peut-être excessive, portée à la
qualité
humaine de la prière, celle-ci tenant lieu de rencontre avec le
Christ.
L’intensité est prise pour la rencontre.
Faut-il
s’en défier ? Non pas, tout sert à tout, l’épaisseur
de notre humanité à la transparence de la divinité. Toutefois, dans la
prière,
c’est le Christ lui-même qui importe, plus que nous en train de
chercher le
Christ. Cherchons le Christ, le reste suivra. Il n’est pas grave que
tel moment
de prière nous semble réussi ou raté : l’objectif est de chercher
le
Christ, de nous mettre à sa suite, d’adorer. Adorer, c’est lui donner
du temps,
c’est-à-dire perdre du temps pour lui, pris sur autre chose. Adorer,
c’est
chanter un psaume joyeux un jour de tristesse, et inversement. Un
moment
d’oraison, même traversé de distractions et de fatigue, vaut mieux que
pas
d’oraison du tout. Ce moment lui aura été donné, par amour, par son
amour. Ce
qui compte, c’est le palais où Dieu réside, et non les galeries qui
nous
conduisent à lui.
Je prends
parti : il faut reconstruire les Tuileries.
Communiqué de l’AFP, diffusé vendredi 26 octobre 2007
Reconstruire les Tuileries, cheval de
bataille de passionnés d’histoire
Par
Pascale Mollard-Chenebenoît
AFP
– Vendredi 26 octobre 9h18
PARIS
(AFP) – Reconstruire le Palais des Tuileries, incendié sous
Depuis
2002, Alain Boumier, président de
l’Académie du
Second Empire, travaille sans relâche à convaincre élus,
personnalités et
représentants de l’Etat de l’opportunité de rebâtir cette ancienne
résidence
royale et impériale, rasée sous
Pour
tenter d’y parvenir, cet ingénieur en BTP a créé un Comité national
pour la
reconstruction des Tuileries, qu’il préside
(www.tuileries.fr).
Premier
pas important franchi en juin
Présidée
par Maurice Druon, secrétaire perpétuel honoraire de l’Académie
française, elle
comprend huit membres dont l’écrivain Erick
Orsenna, l’historien Jean Tulard,
le financier Antoine Bernheim et M. Boumier.
« Cette
commission a travaillé d’arrache-pied et a remis au printemps 2007
un rapport
et une étude technique à M.
Donnedieu de Vabres »,
a indiqué
à l’AFP M. Boumier, organisateur du
colloque. Depuis,
l’élection présidentielle est passée par là et le ministre de
« Nous
sommes en train de peaufiner le dossier et de retisser nos relations
avec les
autorités, sans précipitation », a expliqué M. Boumier.
Interrogée
mardi par des journalistes sur ce dossier, la ministre de
« Ni
l’Etat ni la ville de Paris n’auraient à payer », affirme M. Boumier. Le projet, dont le coût est estimé
autour de 300
millions d’euros, serait entièrement financé grâce à des mécènes et à
une
souscription internationale, ajoute-t-il.
Le
Comité propose à l’Etat, propriétaire du terrain, de signer une
concession du
même type que celle signée pour la galerie commerciale du Louvre ou
pour le
parking du musée.
Alain Boumier a
reçu récemment une lettre de soutien du
directeur de la reconstruction du Château de Berlin, Wilhelm von Boddien, qui lui
adresse « tous ses encouragements pour conduire à bien la tâche
immense
qu’il a entreprise ».
Construite
au XVIè siècle à la demande de
Catherine de Médicis,
puis remaniée, l’ancienne résidence royale et impériale a été
incendiée en mai
1871 par
le site Tuileries.fr (n'existe plus)
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