25/8/1999 HISTOIRE des STEEG

Allemand gothique : Papiers administratifs période de l'annexion de l'Alsace au Reich allemand 1871-1918. Alors qu'à l'école on introduisait déjà les lettres rondes dites Latines. Le maître d'école était en même temps le secrétaire de mairie et usait de la calligraphie admirable pour les actes de naissance.

 

La famille actuelle a traversé le siècle en trois branches issues de "trois Charlotte".

Charlotte STEEG née LENJOINT (1883-1962), veuve en 1918 elle a acheté en 1924 la maison rue verte à Harskirchen berceau de la famille. La maison est restaurée par Gilles STEEG descendance Armand.

Charlotte FISCHER née LENJOINT reconnue STEEG s'est mariée en 1923 et s'est définitivement établie à Beaumont sur Oise. La grand-mère Charlotte a écrit en écriture ronde toute sa vie mais toujours en allemand lorsqu'elle écrivait à Georges et Marguerite son frère et sa belle sœur.

Ceci est normal, elle avait fait sa scolarité à Harskirchen avant 1914 sous les Allemands. Plus tard, lorsqu'elle est partie pour Paris pour être placée dans des familles, afin de "servir" comme on disait, elle a appris à parler le français mais peut-être pas tellement à l'écrire.

Armand connaissait le père naturel de Charlotte, il était marié et habitait Villeneuve à l'entrée de Sarre-Union.

Les phantasmes de Hélène DEUTSCH ne sont plus que d'anciens mystères.

Georges dit que toute autre interprétation n'est que pure fabulation.

tante de la deuxième. Elle s'est fixée à Ludwigshafen am Rhein. Pour la petite histoire, on se souvient d'une romance. August GRIMM pendant son service militaire est passé en Alsace et a fait la connaissance de Charlotte STEEG. Il lui a promis qu'il reviendrait plus tard pour la chercher. Il tint parole et Charlotte alors l'a suivi en Allemagne

Bien que Karl STEEG soit tombé à 38 ans dans la somme, la tante Lottche, comme tout le monde la surnommait, a continué à entretenir d'étroites relations avec sa belle sœur la première charlotte. Elles étaient du même âge, avaient été à l'école ensemble, ont été confirmées la même année puis sont parties à Paris à la même période pour être gouvernantes dans des familles. Elles parlaient toutes les deux le français.

Repris par Michel Dervillé d'un courrier (1999-2001) de Simone KEITEL née STEEG.

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